

Les destinations
Dakar
La ville de Dakar est la capitale de la République du Sénégal et de la région de Dakar. Elle compte 1 056 009 1 habitants contre 3 215 255 habitants (estimation 2011) si on tient compte de l'ensemble de la région de Dakar. C'est une des quatre communes historiques du Sénégal et l'ancienne capitale de l'Afrique-Occidentale française (AOF).
Aujourd'hui le Dak'Art (la Biennale d'art contemporain) contribue à son rayonnement international. Aux quartiers populaires et aux infrastructures héritées de l'époque coloniale – le port, la gare, le palais présidentiel ou la cathédrale du Souvenir africain, ainsi que le remarquable patrimoine de l'île de Gorée toute proche – se sont ajoutés des édifices plus modernes tels que l'Université Cheikh Anta Diop, la Grande Mosquée, la Porte du Troisième millénaire et le Monument de la Renaissance africaine.

Ile de Gorée
Lieu unique, cette petite île du Sénégal a un charme fou avec ses maisons pastel, ses resto, mais ce refuge de détente avec sa « Maison des esclaves » nous rappelle le rôle de Gorée dans le passé et les souffrances de la traite des noirs.


Lac Rose
Situé à 40 km au nord est de Dakar, le lac rose encore appelé lac Retba, est l'une des principales attractions touristiques au Sénégal.
L'endroit est choisi pour son calme, la beauté des environs, et surtout par curiosité, l'installation de campements et des hôtels non loin du site rend encore plus facile la visite du lac.
Saint Louis
Située aux confins de l'Océan, du Sahara et de la brousse, Saint-Louis fut toujours la meilleure introduction à la découverte de l'Afrique.
Célèbre étape d'abord des navires européens de la Traite, puis de l'aéropostale de Mermoz, l'île conserve d'importants témoignages de son prestigieux passé. Elle est encore aujourd'hui, la ville symbole de l'élégance et du rafinement au Senegal.


Touba
A l’Est, la bibliothèque et les cimetières. La cité englobe aussi les maisons des fils de Cheikh Ahmadou Bamba et des principaux chefs religieux. Autrefois petite ville dans laquelle les habitants se consacraient essentiellement à la culture, Touba va connaître une évolution majeure à la fin des années 70 en passant d’une ville de pélerinage à celle d’une métropole économique de près de 500 000 personnes évoluant désormais dans le secteur tertiaire et le commerce.

Parc Nationnal du Niokolo Koba
Au cœur du Sénégal oriental, le milieu est relativement plat. Quelques petites collines, dont l’Assirik (311 m), surplombent les cours d’eau, la Gambie et ses deux affluents, Niokolo-Koba et Koulountou, où les animaux s’abreuvent. La végétation est variée : savane sèche, forêt le long des cours d’eau, lacs et marécages.
Inscrit comme site du Patrimoine mondial et Réserve de la biosphère internationale, le parc compte près de 350 espèces d’oiseaux et 80 espèces de mammifères, notamment des lions, des léopards et quelques éléphants. On peut y trouver également des antilopes, des singes, des phacochères, des babouins, des buffles, ainsi que des hippopotames et crocodiles dans les cours d’eau.

Parc Nationnal du Siné Saloum
D’une superficie de 76 000 ha, dont 59 000 ha de forêts classées, il est le deuxième parc du Sénégal, après celui du Niokolo Koba. Les principaux biotopes sont des vasières à mangrove et tannes, des côtes et îlots sableux, le milieu marin et de la savane boisée soudanienne.
On y trouve trente-six espèces de mammifères : des phacochères, des guibs harnachés, des sylvicarpes de Grimm, des cobe des roseaux (rare), des hyènes tachetées, des colobes bais, des singes verts et des patas.

Mbour - Saly
Mbour est le deuxième port de pêche du pays. Principal pôle économique de la Petite Côte au temps de la colonie, la ville conserve le charme désuet de ses vieilles maisons de commerce, son église, ses entrepôts d'arachide et les vestiges de son wharf. Il y règne une certaine pagaille avec ses nuées d'enquiquineurs professionnels qui ne vous lâchent pas d'une semaine.
Saly: Le village d'origine était un ancien comptoir portugais. C'est ainsi que les colons portugais auraient surnommé cet endroit Sali Portugal, une dénomination qui s'est transformée au fil du temps en Saly Portudal. Créée de toutes pièces à proximité du village, la station balnéaire a été inaugurée le 24 février 1984, au moment où le tourisme prenait son essor au Sénégal.
Lompoul
Aux visiteurs se rendant au Sénégal, le désert de Lompoul donne souvent un avant-goût des grands déserts de Mauritanie, situés plus au nord. C'est désormais une destination assez prisée car plus sécurisée par rapport aux autres déserts de l'espace sahelo-saharien notamment du Mali, du Niger et de la Mauritanie, où planent des attaques terroristes.
Les excursions proposées le sont généralement au départ de Saint-Louis. L’hébergement peut se faire dans un campement de khaïmas (tentes maures).

Casamance
La Casamance est traditionnellement appelée le "grenier du Sénégal". C'est là, en effet, qu'on trouve le plus d'arbres fruitiers et de rizières, la pluviométrie y étant nettement plus importante que dans le reste du pays. On distingue administrativement deux régions : la basse et la moyenne Casamance, région de l'estuaire, à l'ouest et autour de Ziguinchor ; et la haute Casamance à l'est (région de Kolda).

Joal Fadiouth - Ile aux Coquillages
Fadiouth, reine du royaume de Fasna est une des plus grandes passes pour traverser la lagune Mama Nguedj, une des portes de la Petite Côte.
Nombreux sont ses hôtes qui la quittent séduits et bien décidés à y revenir à cause de son environnement pittoresque sur une rade protégée par la pointe de Finio. Distante de près de 120 km de Dakar, l’île se détache là-bas, derrière Joal, avec son pont pittoresque en bois, long de 725 m.
Tout à côté, une autre île, le cimetière marin, perché à près de 9 m de hauteur, élève ses croix blanches ; un second pont le relie à Fadiouth. Et tout autour, des bras de mer, des palétuviers, d’autres petites îles au milieu de la mangrove.
La population est composée, dans sa grande majorité, de Sérères qui se réclament comme des Séréres-Socés et descendants du roi Waly Mané. Les chrétiens sont les plus nombreux et les musulmans représentent à peine 2% de la population sur les 10 000 âmes que compte l’île.

Réserve de Bandia
La réserve naturelle de Bandia occupe 3 500 hectares de savane arbustive, essentiellement plantée d'acacias, de baobas millénaires, et sillonnée par 50 km de pistes. Le site est d'abord un paradis pour les oiseaux, dont le joli calao à bec rouge. Vous pourrez observer bufles, phacochères, chacals, autruches, hippotragues, cobes à croissant, antilopes impalas et même un magnifique troupeau de girafes...